Moussa Sangaré né le 8 juin 2003, fils de feu Lassana Sangaré et de Sitan Sidibé. Au nombre de 12 enfants côté paternel et premier des quatre enfants côté maternel. Moussa est un jeune homme de teint noir aux cheveux court, mesurant 1.85m, sur 68kg. Ayant commencé ses études fondamentale en 2009 à l’école Jean Jack Rousseau de Niamakoro, il a obtenu son diplôme d’étude fondamental (DEF) en 2018. Toujours sur le chemin de l’école, le jeune atterrisse à l’école « Bianson » et à l’obtention de son Baccalauréat (Bac) dont l’échec ne fait que se cumuler. Courageux et optimiste il continue à tenter sa chance. Moussa confia que : « je suis en train de faire le Bac et cela me fait maintenant trois fois que je tente le Bac. C’est en 2020 que j’ai commencé à faire le bac au Lycée Bianson. »
De père plombier Moussa Sangaré commença à nourrir une passion pour ce métier, moussa affirma que : « Mon père était plombier, il a travaillé à l’ambassade des Etats-Unies, il initia mon grand-frère à ce métier. Et, ce dernier est tombé amoureux et se forma au fil du temps. » Il se souvient « Après le décès du Papa le grand frère prend les rênes de l’entreprise du père. Voyant que nous étions à la maison à ne rien faire il décida de le suivre et c’est comme cela que j’ai commencé à avoir l’amour du travail de plomberie ».
Assis sur une chaise, Moussa se replongea dans ses souvenirs : « Depuis très petit j’ai commencé ce travail, je peux dire depuis mes 7 ans on y aillait juste pour s’amuser et voilà comment l’amour du métier de plombier m’est venu. Je m’y suis formé jusqu’à ce que je sois parvenu à faire ce que je voulais. » Jeune ambitieux et ayant tout un plan pour un avenir radieux, Moussa Sangaré aspire après l’obtention de son bac, chercher une bourse pour aller bien se perfectionner. Il souligne « Je veux voir les avancées d’autres pays, et dix ans, me voir chef d’entreprise, après m’être spécialisé hors du pays. » Heureux de partager ses folies d’ambition les yeux lumineux croyant à un avenir meilleur, Moussa poursuit « J’ambitionne de créer d’autres emplois. »
Pour cela, il plaide au près des gouvernants de penser aux jeunes, « car tout le monde n’est pas fait pour les études, s’ils peuvent les aider à la réinsertion des métiers professionnels pour qu’ils puissent s’autonomiser ce sera un vrai atout ».
Passionné de sport surtout de foot pour améliorer sa santé, Moussa aime presque tous les plats mais plus la viande grillée. A le voir, il est d’une gentillesse et d’une timidité sans nom.
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